Roissard

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Roissard
Roissard
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes du Trièves
Maire
Mandat
Christophe Drure
2020-2026
Code postal 38650
Code commune 38342
Démographie
Gentilé Roissardons
Population
municipale
318 hab. (2021 en augmentation de 6,71 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 59″ nord, 5° 38′ 26″ est
Altitude Min. 486 m
Max. 1 800 m
Superficie 14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Matheysine-Trièves
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Roissard
Liens
Site web www.mairieroissard.fr

Roissard est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Le village, autrefois situé dans l'ancienne province royale du Dauphiné, appartient à un territoire de moyenne montagne dont l'altitude se situe entre 500 m et 1 200 m d'altitude et qui se trouve entre des massifs montagneux qui l'entourent de trois côtés : à l'ouest, on peut découvrir le massif du Vercors, au sud et à l'est se détache le chaînon de l'Obiou appartenant au massif du Dévoluy).

Ses habitants sont appelés les « Roissardons »[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan de la commune de Roissard et des communes limitrophes

Localisation et description[modifier | modifier le code]

Roissard est un petit village de moyenne montagne essentiellement rural à vocation résidentielle. Situé au sud du département de l'Isère et de la région Auvergne-Rhône-Alpes, le territoire communal est situé non loin de la route Grenoble - Marseille, lieu de passage routier au niveau des balcons du Vercors non loin de la vallée de la Gresse et des reliefs du Trièves. Positionné sur le versant méridional du col du Fau, dans le Trièves, son territoire marqué par un petit bourg entourés de petits hameaux garde une tradition agricole encore très ancrée, avec ses fours détrés et des maisons paysannes.

Depuis la RN75, route principale, reliant Grenoble à Sisteron, une route rejoignant le village, se prolonge en direction du pont suspendu de Brion, reconstruit en 1951, sur la gorge de l'Ébron : 126 m de haut, 100 m de long.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Roissard vu depuis le hameau de l'Homme.
Roissard vu depuis le hameau de l'Homme.

Le glacis alluvial du Trièves occidental est fragmenté en panneaux séparés par des ravins. Sa partie orientale correspond au versant ouest de la cuesta bajocienne et sur laquelle sont implantées les deux principales localités de Roissard, au nord et de Lavars (au sud), a été séparée de celle, occidentale, des pentes de Saint-Michel-les Portes et de Clelles par des cours d'eau selon un axe nord-sud[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est sillonne par plusieurs cours d'eau :

  • Au sud, l'Ébron, d'une longueur de 32,1 km[3].
  • À l'ouest, le torrent de Riffol, d'une longueur de 8,1 km[4].
  • Au nord, le ruisseau de Vanayre.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 026 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Monestier », sur la commune de Monestier-de-Clermont à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 062,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies routières[modifier | modifier le code]

Depuis la RN75, route principale, reliant Grenoble à Sisteron, une route départementale (la RD34) rejoignant le village, se prolonge ensuite en direction du pont suspendu de Brion, reconstruit en 1951, sur la gorge de l'Ébron : 126 m de haut, 100 m de long.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Roissard vu depuis le hameau de l'Homme.
Roissard vu depuis le hameau de l'Homme.

Typologie[modifier | modifier le code]

Roissard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,1 %), zones agricoles hétérogènes (21,4 %), prairies (16,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,2 %), terres arables (3,1 %), eaux continentales[Note 3] (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune comprend divers hameaux, dont :

  • le Fau
  • les Peyrouses
  • Maissenas
  • Martine
  • l'Homme
  • les Fauries

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Roissard est situé en zone de sismicité n°3 dite « modérée, » (sur une échelle de 1 à 5) comme la plupart des communes de son secteur géographique. Elle se situe cependant au sud de la limite d'une zone sismique classifiée de « moyenne »[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Selon une édition du journal le Matin de l'époque, le , un séisme de moyenne ampleur a été ressenti par la population de Monestier-de-Clermont et de sa région[19].

« Ce matin, vers 4 heures 45, la population de Monestier-de-Clermont a perçu une secousse assez forte qui s'est prolongée pendant une minute. On ne signale pas d'accident de personne. »

Selon le réseau sismologique des Alpes (Sismalp), un séisme de magnitude 2,7 dont l'épicentre était situé au col des Mouilles le a été ressenti sur le territoire de Monestier-de-Clermont[20].

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est nommé en latin Riaciasco au VIIIe siècle, de Royssanis au XIVe. Jean-Claude Bouvier (Noms de lieux du Dauphiné - Bonneton, 2002) pense qu'il s'agit au départ d'un nom gaulois de personne.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Le village héberge le site d'une ancienne occupation romaine. Nombreuses tombes gallo-romaines et sanctuaire à la côte des Araygnées.

Occupation du sanctuaire du Ier siècle av. J.-C. au IVe siècle apr. J.-C. attestée par la découverte d'une drachme au bouquetin, de nombreux deniers de la république romaine, d'un dépôt de dupondii de Nîmes des 1er, second et troisième type, de plusieurs nummi des empereurs Constantin et Jovien.

Artefacts : deux fibules de type Feugere A17, de nombreux imbrices de poterie des Ier et IIe siècles, brique romaine.

Ce sanctuaire est très certainement un temple de Diane, théorie relative aux patines marbrées des dupondii de Nimes, patine caractéristique des monnaies ayant séjourné longuement dans l'eau…).

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La maison forte du Clos, construite sur un éperon rocheux dominant à plus de 200 mètres le lit du Drac (aujourd'hui noyé sous le lac artificiel de Monteynard-Avignonnet), fut bâtie au XIIIe siècle. Son seigneur était à l'époque des guerres de religion le seul seigneur catholique, auquel s'opposaient ses seigneurs huguenots voisins. Au pied de la falaise (et aujourd'hui au bord du lac) se trouve le château d'Herbelon (hors de la commune).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 En cours Christophe Drure DVG Professeur
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

En 2019, la commune n'est jumelée avec aucune autre commune de France ou d'Europe.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 318 habitants[Note 4], en augmentation de 6,71 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
323352344333381410372399383
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
351359363359359348320281244
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
222216201179174167184184177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
13713695141199193222217245
2014 2019 2021 - - - - - -
294316318------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble et dépend de la zone A.

Une école Montessori accueillant les enfants de 3 à 10 ans est située sur la commune. L'école publique est située à Monestier-de-Clermont, ainsi que le collège, avec un ramassage scolaire.

Équipements culturels et sportifs[modifier | modifier le code]

L'espace équestre du Trièves est situé dans hameau de Messenas[25].

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de l'Isère-Sud, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église de Roissard (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse « Notre Dame d'Esparron » qui couvre vingt-huit autres églises du secteur, la maison paroissiale étant située à Monestier-de-Clermont. cette paroisse dépend de la Doyenné « Montagnes Sud » et du diocèse de Grenoble-Vienne [26].

Économie[modifier | modifier le code]

Secteur agricole[modifier | modifier le code]

La commune et ce secteur est également le berceau de fromages typiques du Trièves, avec la fromagerie du Mont Aiguille : le Brion au lait de chèvre, le Trois Pis réalisé avec les trois laits (chèvre, vache et brebis) et bien sûr le Trièves au lait de vache.

Autres secteurs[modifier | modifier le code]

La commune est proche du lac de Monteynard, important site touristique de la région.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale de Roissard est placée sous le patronage de saint Étienne[27].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Pont de Brion
  • Le monument aux morts communal, de facture assez classique se présente sous la forme d'un obélisque sur socle avec comme motif, une croix et des représentations d'armes et de drapeaux entrecroisés et entouré d'une grille. Ce monument commémore le souvenirs des soldats originaires de la commune disparus lors de la Première guerre mondiale[28].
  • Château des Bardonnenche, maison forte transformée en mairie.
  • Villa Gaymard du début du XXe siècle, située près de l'église.
  • Domaine du Clos, sur la falaise dominant l'Ebron et le Drac, ancienne place forte du XIIIe siècle , maison reconstruite dans les années 1950 par le Colonel Gaymard.
  • Le pont de Brion (partagé avec la commune voisine de Lavars)

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le peintre du XIXe siècle, Jules Guédy, bien que né à Grenoble le (10 ventôse de l'an XIII)[29] et mort à Pau le [30], est parfois répertorié comme étant né à Roissard[31]. Ses tableaux se trouvent dans différents musées de la région, Grenoble, Chambéry mais aussi dans des églises de cette région.Il participa également à la restauration de nombreux tableaux en France, en particulier à Albi. C'est lui qui fut choisi pour peindre les enfants ayant vécu une apparition de la Vierge à La Salette, qui devint un pèlerinage important en France. Il peignit principalement des paysages et des portraits. Il mourut à Pau en 1876 et trois de ses fils devinrent peintres, restaurateur de tableaux, vendeurs de tableaux et photographe, Théodore, Eugène et Louis, et un petit-fils Gaston[32].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Roissard possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 20 octobre 2019.
  2. Site geol-alp.com, page sur Roissrd.
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'ébron (W25-0400) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le torrent de Riffol (W2540500) » (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Roissard et Monestier-de-Clermont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Monestier », sur la commune de Monestier-de-Clermont - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Monestier », sur la commune de Monestier-de-Clermont - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité, consulté le 20 octobre 2019.
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. Site de Gallica, Edition du journal le Matin du 06/05/1931
  20. Site de l'IRMA, page sur le séisme de 2012 sur Belledonne
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. site esp-equestre-trieves, page de présentation, consulté le 17 juin 2021.
  26. Site du diocèse de Grenoble-Vienne, page sur la paroisse de "Notre Dame d'Esparron
  27. L'église de Roissard sur messes.info, service proposé par la Conférence des évêques de France
  28. Site monumentsmorts.univ-lille.fr, page sur le monument aux morts de Roissard, consulté le 4 février 2021.
  29. Acte de naissance à Grenoble, le 13 ventôse an XIII, vue 96 sur 255, acte n°384, cote document 9NUM/5E186/24/63 sur les registres d'état civil en ligne du site des Archives départementales de l'Isère.
  30. Acte de décès à Pau, le 24 avril 1876, vue 36 sur 104, acte n°263, cote document 1E259 sur les registres d'état civil en ligne du site des archives de la Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées
  31. Par exemple le Catalogue de l'exposition Musée des Amériques – Auch, d'octobre 2019, page 25
  32. documents personnels généalogiques-bernard.wagner5@free.fr

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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